Après le report de la généralisation de la facturation électronique en France, initialement prévue mi-2024, et l’annonce du nouveau calendrier, la moitié des entreprises déjà engagées sur le sujet auraient ralenti ou gelé leur projet, selon un sondage en ligne réalisé par Acxias fin février. Plus inquiétant, alors que l’échéance est désormais fixée à septembre 2026 pour les grandes entreprises et les ETI, près d’un quart des répondants (23,1 %) reconnaissent n’avoir toujours pas commencé. Pourtant, du fait des changements importants que l’e-facturation introduit dans les processus de gestion financière, mais aussi parce que le chantier touche aussi bien les directions métiers (achats, finances, etc.) que juridique et informatique, les entreprises ont tout intérêt à anticiper l’engagement du chantier afin d’être prêtes à l’échéance imposée. Au-delà du volet technique, la conduite du changement revêt notamment un caractère crucial, en interne et auprès des fournisseurs.
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